Mes pas sont toujours pareils,
Mais maintenant ils sont différents,
Je l'ai senti à mon réveil,
Mon coeur est aimant.
Mes pieds martèllent le trottoir,
Comme d'habitude
Mais c'est un nouveau soir,
Une nouvelle vie, une nouvelle attitude.
Ton sentiment n'est pas réciproque,
Tu me l'as dit, sans équivoque,
Je me sens sombrer dans les abysses,
Envolées, de sourires les esquisses.
Du bonheur je suis passée au malheur,
Subitement, sans comprendre.
A sonné mon heure,
Jamais plus je ne pourrais t'entendre.
Ta voix me suis pourtant,
Mais seulement dans mon esprit,
J'ai toujours les pas différents,
Mais ma joie est partie.
Et je vais seule, chez moi c'est une tendance
A chaque tournant,
Je me rappelle mon coeur brisé mais aimant,
"Amour, quand tu nous tiens, on peut bien dire adieu prudence".
Sur mes joues coulent des larmes salées,
Une écharpe à la main,
J'ai choisi une impasse sur le chemin de la lâcheté,
Celle de ne plus voir demain.
Mais maintenant ils sont différents,
Je l'ai senti à mon réveil,
Mon coeur est aimant.
Mes pieds martèllent le trottoir,
Comme d'habitude
Mais c'est un nouveau soir,
Une nouvelle vie, une nouvelle attitude.
Ton sentiment n'est pas réciproque,
Tu me l'as dit, sans équivoque,
Je me sens sombrer dans les abysses,
Envolées, de sourires les esquisses.
Du bonheur je suis passée au malheur,
Subitement, sans comprendre.
A sonné mon heure,
Jamais plus je ne pourrais t'entendre.
Ta voix me suis pourtant,
Mais seulement dans mon esprit,
J'ai toujours les pas différents,
Mais ma joie est partie.
Et je vais seule, chez moi c'est une tendance
A chaque tournant,
Je me rappelle mon coeur brisé mais aimant,
"Amour, quand tu nous tiens, on peut bien dire adieu prudence".
Sur mes joues coulent des larmes salées,
Une écharpe à la main,
J'ai choisi une impasse sur le chemin de la lâcheté,
Celle de ne plus voir demain.